Qui entretient le vert ? (billet évolutif, de travail, en lien avec les travaux d'ibicity sur la gestion des espaces publics)
Une réponse de Madame Pousse :
Et toujours :
De quelle couleur sera la ville verte ?, chronique prospective pour Futuribles
La gestion des espaces publics au concret, table-ronde du Club Ville et Aménagement
"Le défi : nouvelle économie des espaces publics"

Source : carnet ibicity 2025
Et aussi : nouveaux espaces verts-bleus, nouveaux usages :

Sente de la frégate, à Bordeaux
Et aussi, vers(t) New-York :
Et aussi : nouveaux espaces verts et nouveaux usages

Jardin Botanique de Bordeaux
Et aussi : nouveaux espaces publics gris-bleus-verts, et nouveaux usages

Bourges, place Cujas, 1er jour de l'automne 2025
La place Cujas à Bourges a été aménagée par Idverde, "leader européen de services en aménagement paysager, création et entretien".
"Autrefois dédiés essentiellement au confort et à la qualité de vie des urbains, les espaces consacrés à la nature dans les villes, souvent réduits au statut d'« espaces verts », sont aujourd'hui un véritable outil de lutte contre le changement climatique, au même titre que les nouvelles mobilités ou la rénovation énergétique des bâtiments. Aux Etats-Unis, par exemple, les arbres des villes absorbent près de 90 millions de tonnes de CO2 par an et en stockent plus de 2,5 milliards de tonnes, soit l'équivalent de l'empreinte carbone de 5 millions d'Américains. Utiliser les arbres et la nature pour capter le CO2 des villes, qui émettent 70 % des gaz à effet de serre de la planète, présente deux avantages majeurs : c'est une solution bon marché par rapport au coût de la capture du carbone, qui offre des bénéfices complémentaires gratuits, comme la protection de la biodiversité ou la régulation de l'humidité. Il en va de même pour l'utilisation des espaces verts urbains pour capter les eaux de surface en cas d'orages violents, qui tendent à se produire de plus en plus souvent et à provoquer des inondations et des dégâts sur une échelle quasiment sans précédent. Le regard sur les espaces verts en ville doit donc changer. Ces actifs deviennent stratégiques pour le futur des villes dans un contexte de hausse rapide des températures, d'événements orageux sans précédent, et doivent donc faire l'objet d'une gestion économique et technique semblable à celle des grandes infrastructures. Non seulement ce patrimoine naturel recèle une forte valeur économique (la ville de Manchester, par exemple, a estimé à 5 milliards d'euros la valeur de remplacement de ses arbres), mais il exprime aussi une valeur écologique, sociétale, climatique à très fort potentiel".
"La nature en ville, une infrastructure stratégique", tribune dans Les Echos du 23 août 2022 d'Olivier Brousse, PDG du groupe Idverde de 2021 à 2023.
Et aussi : gestion collective par des "habitants/référents"

Bourges, rue de Vauvert - 22 septembre 2025
Texte du panneau :
Qu’est-ce que le compostage partagé ?
C’est un espace où déposer les déchets alimentaires (épluchures, coquilles d’œuf, marc de café) afin qu’ils se décomposent naturellement. C’est une solution pratique et conviviale pour : produire un engrais naturel pour fertiliser la végétation du quartier ; diminuer la quantité de déchets et ainsi limiter les charges de la collectivité ; limiter l’impact sur l’environnement ; créer des liens conviviaux entre les habitants.
La gestion collective
Il est géré par des habitants/référents avec le soutien de Bourges Plus qui assure la fourniture des composteurs, la formation et l’accompagnement des bénévoles référents. Ces référents sont des utilisateurs et interlocuteurs de Bourges Plus. Ils suivent le bon fonctionnement des composteurs par des visites 1 fois tous les 15 jours. Idéalement ils sont 2 ou 3 par site afin de se relayer. Nous recherchons des volontaires.
Et aussi : Etude Biorev'Aix - PUCA - Septembre 2025
L'entretien des espaces verts... sujet bientôt piquant ?

Panneau hérisson ! juste derrière le panneau compost partagé (chemin de Vauvert, à Bourges)
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