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ibicity intervenait ce matin dans le cadre du festival "Building Beyond" organisé par Léonard, la structure de prospective et d'innovation du groupe Vinci.

Le replay est à regarder ici.

Quelques extraits (repris du fil twitter) :

La donnée pour légitimer : au Brésil, il existe beaucoup de favelas décennies mais n’y avait jusqu’ici pas de cartes. Depuis quelques années, une association locale a pris l’initiative de cartographier les favelas en partenariat avec Google pour les légitimer - Antoine Courmont

En France, l’application Stop-Covid est un échec. Je suis très frappée, alors même qu’on nous parle beaucoup de #smartcity, que les villes soient si absentes de la gestion des données relatives à l'épidémie. - Cécile Maisonneuve

À Singapour, pas de confinement généralisé, mais les acteurs publics & privés de la ville se sont regroupés pour indiquer en temps réel la fréquentation des lieux (parcs, supermarchés...) Les citoyens pouvaient décider eux -mêmes où se rendre - Cécile Maisonneuve

Nous adoptons sur nos projets une posture d’accompagnement : explorer et construire des services avec les villes et les fournisseurs de services urbains qui captent les données. Avoir accès aux données brutes n’a pas de sens pour les acteurs et notamment le citoyen - Sarah Medjek

Par exemple, la métropole du Grand Lyon est en train de développer un cloud personnel pour le mettre à disposition du citoyen. Nantes et La Rochelle ont entamé des démarches également - Sarah Medjek

Antoine Courmont cite l'exemple de l’application “dans ma rue” qui permet de signaler des désagréments dans l’espace public. En terme d’impact sur les métiers, cela crée des changements dans l’organisation interne de la mairie de Paris sur la maintenance de la voirie.

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