L'APUR livre aujourd'hui une très intéressante étude sur les équipements et services publics à l'horizon 2030.
Comme le pointe l'introduction du rapport, "l’espace entre équipement et service est en pleine mutation, des actions et acteurs nouveaux émergent ouvrant de nouvelles possibilités, engageant à la fois les méthodes et les usages. Les modalités de production d’équipements et de services publics se réinventent. Ces évolutions interrogent la reconversion des équipements et services de façon à optimiser l’existant, mutualiser les usages au-delà de l’approche « un service = un équipement », rechercher l’adaptabilité et la flexibilité, développer l’aller-vers, se saisir des potentialités offertes par le numérique et enfin articuler les échelles territoriales tout en continuant à veiller à la réduction des déséquilibres.
Ces orientations supposent une évolution des cadres de programmation, de gestion et de financement. Dans un contexte où les compétences en matière d’équipements et services sont exercées par un plus grand nombre d’acteurs, la question de leur portage, abordée dans cette étude, est tout aussi essentielle".
L'étude est organisée en trois grands chapitres :
- L’optimisation de l’existant
- L’équipement et le service du futur
- L’équipement « as a service ».
Elle inclut également des regards de chercheurs et de professionnels, qui ont été intégrés à l’étude. Outre notre contribution (pages 202 et 206), on signalera notamment celle de Rémi Feredj sur les nouveaux cadres programmatiques, celle de Michèle Raunet sur les nouveaux cadres réglementaires, celle de Maxime Boucher et Sophie Rosso sur la réversibilité, et celle de William Yon sur de nouveaux modes de coproductions public-privé.
L'étude est téléchargeable sur le site de l'APUR : ici.
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